Pourquoi votre base Azure SQL DTU vous facture plus de 24h par jour !
💡 Surfacturation cachée dans Azure SQL : comprendre le piège des changements de tier dans le modèle DTU
Dans le cadre d’un audit Azure SQL Database, j’ai identifié un phénomène de sur-facturation atypique : une base pouvait être facturée au-delà de 24 heures sur une seule journée lors d’un changement de tier intrajournalier.
Le modèle DTU d’Azure SQL, réputé simple (CPU, RAM et I/O en un seul indicateur), présente une anomalie de facturation peu connue.
Ce cas illustre les limites du modèle DTU, dont la mécanique de facturation horaire ne reflète pas toujours l’usage réel et peut générer des coûts redondants.
Pour limiter le gaspillage, des alternatives existent : basculer vers le modèle vCore (facturation à la seconde), envisager le mode Serverless, ou mettre en place des KPI de détection.
Attention cependant : le vCore introduit des coûts de stockage séparés, qui peuvent dépasser ceux du DTU pour les petites charges.
En résumé : ce qui paraît simple masque une complexité coûteuse.
J’ai eu l’opportunité de documenter cette anomalie dans une contribution publiée en open source sur le Cloud Efficiency Hub, plateforme de référence pour la capitalisation et le partage des inefficiences cloud.
Le FinOps exige donc de revisiter la facturation DTU pour reprendre le contrôle de vos budgets SQL.
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